-
Par christian la lune le 9 Février 2017 à 14:37
Nie jeden dzień
(Natalia KUKULSKA)
Pas un seul jour
(Traduction libre de Christian la lune)
Miałem sen,
Sen we śnie
W którym ktoś
Pocałował mnie
Jak on wszedł do tego snu,
Czy to był znak
Że czekać mam
Aż sen siȩ spełni ?
J’ai fait un rêve,
Un rêve en mon sommeil
Au cours duquel quelqu'un
M’ embrassa,
Comme celui qui entre
En ce songe,
Est-ce le signe
Que je dois attendre
L'accomplissement du rêve ?
Miasta puls
Muży mnie,
Chcȩ mieć czas
Aby w siebie wejść
Życie nieść mnie dalej chce
Lecz krótkie jest,
Żal popsuć je
Czymś tak niepewnym.
Le pouls de la ville
Me saisit,
Je veux avoir le temps
D' entrer en moi,
La vie porte mes désirs au loin
Mais elle est courte,
Le regret la gâte
En la rendant incertaine.
Nie jeden dzień
Nie jedną noc
Myślałam dokąd
Mnie prowadzi
Serca głos
Co chce mi dać,
Co zabrać chce,
Czy nie próbuje
Oczarować mnie
Słucham go
Łudzac siȩ
Że on wie co dla mnie
Dobre jest.
Pas un seul jour
Pas une seule nuit
J’ai pensé où me conduirait
La voix du coeur
Ce qu’elle veut me donner,
Ce qu’elle veut m’enlever,
Veut-elle tenter de m'investir ?
Je l’ai entendu, lui,
Me berçant de l 'illusion de croire
Ce qui est bon pour moi.
Jesteś sam
Widzȩ Ciȩ
Siedzisz tak
Nie daleko mnie
Jakiś most wyszukaj mi
Po którym ja
Południem dnia
Do Ciebie przyjdȩ.
Nie jeden dzień (bis)
Nie jedną noc (bis)
Myślałam dokąd
Mnie prowadzi
Serca głos
Co chce mi dać,
Co zabrać chce,
Czy nie próbuje
Oczarować mnie
Słucham go
Łudzac siȩ
Że on wie co dla mnie
Dobre jest.
Każdy z nas na pewno
Ma miejsce, w którym sam
Przed sobą
Chowa siȩ
Jeśli ty drogȩ znasz
Po mnie przyjdł,
Czekam tam.
Nie jeden dzień
Nie jedną noc
Myślałam dokąd
Mnie prowadzi
Serca głos
Co chce mi dać,
Co zabrać chce,
Czy nie próbuje
Oczarować mnie
Słucham go
Łudzac siȩ
Że on wie co dla mnie
Dobre jest.
Nie jeden dzień
Nie jedną noc
Myślałam dokąd
Mnie prowadzi
Serca głos
Co chce mi dać,
Co zabrać chce,
Czy nie próbuje
Oczarować mnie
Słucham go
Łudzac siȩ
Że on wie co dla mnie
Dobre jest.
Tu es seul
Je te vois,
Tu es assis
Non loin de moi,
Tel un pont, cherche-moi
Afin que par lui,
Un après-midi,
J’arrive jusqu’à toi.
Pas un seul jour (bis)
Pas une seule nuit (bis)
J’ai pensé où me conduirait
La voix du cœur,
Ce qu’elle veut me donner,
Ce qu’elle veut m’enlever,
Veut-elle tenter de m'investir ?
Je l’ai entendu, lui,
Me berçant de l' illusion de croire,
Ce qui est bon pour moi.
Chacun de nous vraiment
A une place où seul
Il se dissimule,
Si tu en connais le chemin
Viens vers moi,
J’attends là.
Pas un seul jour
Pas une seule nuit
J’ai pensé où me conduirait
La voix du cœur,
Ce qu’elle veut me donner,
Ce qu’elle veut m’enlever,
Veut-elle tenter de m'investir ?
Je l’ai entendu, lui,
Me berçant de l' illusion de croire,
Ce qui est bon pour moi.
Pas un seul jour
Pas une seule nuit
J’ai pensé où me conduirait
La voix du cœur,
Ce qu’elle veut me donner,
Ce qu’elle veut m’enlever,
Veut-elle tenter de m'investir ?
Je l’ai entendu, lui,
Me berçant de l' illusion de croire,
Ce qui est bon pour moi.
1 commentaire -
-
-
-
Par christian la lune le 8 Février 2017 à 10:20
Chapitre 1, l'Albanie regarde vers l'Italie, projet de visite à Tirana...
Eh bien non ! Théo n’est pas à Tirana. Il est parti régler des questions épineuses à l’Ouest de l’Albanie, à Durrës, une localité charmante délicieusement plantée le long de la mer, à 39 km seulement à gauche de la capitale, sur la carte. Carole Rubinstein, âgée de 23 ans, l’amie de Natalie Cartal y habite dans un appartement de luxe, situé en bord de digue, faisant face à l’Italie.
Du côté italien justement, les jolis flots de la mer Adriatique baignant la côte, au Corso Vittorio non loin de la Basilique San Nicola forment une frontière floue avec la propriété en contre-pied du jardin de la villa. L’espace dormant sous sa nature épaisse est occupé par le ‘Prince de Bari’. Les gens du patelin nomment ainsi le frère de Carole, ‘le fils du Boss’. Chaque matin, la grande sœur, à partir de son petit banc albanais cabossé et veiné en granit de Durrës, salue, d’un vague sourire ambigu, la riche Italie. ‘Ciao bambino’…
Pas de Théo, rien de grave ! Natalie Cartal, l’amie de longue date d’Alex l’attend comme convenu, dès la douane franchie, à deux pas du centre des bagages.
Natalie et Alex s’embrassent en un parfait câlin. Ils ne se sont plus vus depuis longtemps. La dernière fois, ce fut en France, près de Paris.
Il est quinze heures. Tout à coup, une certitude les enveloppe, celle de l’absence du père de Carole.
- Théo n’est pas là. Il reviendra dans quelques semaines. Il est chez sa fille à Durrës. Viens donc passer la nuit chez moi. Demain, je te ferai voir la capitale albanaise. Comme tu le sais, j’expose des toiles et quelques photos, au centre de la ville. Nous visiterons les lieux pendant une heure, puis nous dînerons, vite fait bien fait.
Marché conclu. Alex y sera novice en ces lieux de minarets, de marchés un peu orientaux, un peu arabisants, ruelles aux souks agglomérés, magasins puants et veules. C’est l’occasion unique de découvrir un peu, d’exposer à son amie son travail d’ébauche des huit chroniques à envoyer au journal. Elle l’aidera, pas de problème.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique