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    Nie jeden dzień

     

    (Natalia KUKULSKA)

     
     

    Pas un seul jour

     

    (Traduction libre de Christian la lune)

     
     

     

     

    Miałem sen,

     

    Sen we śnie

     

    W którym ktoś

     

    Pocałował mnie

     

    Jak on wszedł do tego snu,

     

     

    Czy to był znak

     

    Że czekać mam

     

    Aż sen siȩ spełni ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J’ai fait un rêve,

     

    Un rêve en mon sommeil

     

    Au cours duquel quelqu'un

     

    M’ embrassa, 

     

     

    Comme celui qui entre

    En ce songe,

     

     

    Est-ce le signe

    Que je dois attendre 

     

    L'accomplissement du rêve ?

     
     

    Miasta puls

     

    Muży mnie,

     

    Chcȩ mieć czas

     

    Aby w siebie wejść

     

    Życie nieść mnie dalej chce

     

    Lecz krótkie jest,

     

    Żal popsuć je

     

    Czymś tak niepewnym.

     
     

     Le pouls de la ville

     

    Me saisit, 

     

    Je veux avoir le temps

     

    D' entrer en moi,

     

    La vie porte mes désirs au loin

     

    Mais elle est courte,

     

    Le regret la gâte

     

    En la rendant incertaine.

     
     

     

     

    Nie jeden dzień

     

    Nie jedną noc

     

    Myślałam dokąd

    Mnie prowadzi

     

    Serca głos

     

    Co chce mi dać,

     

    Co zabrać chce,

     

    Czy nie próbuje

    Oczarować mnie

     

    Słucham go

     

    Łudzac siȩ

     

    Że on wie co dla mnie

    Dobre jest.  

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

      
     

     

     

    Pas un seul jour

     

    Pas une seule nuit

     

    J’ai pensé où me conduirait

     

     

    La voix du coeur

     

    Ce qu’elle veut me donner,

     

    Ce qu’elle veut m’enlever,

     

     

    Veut-elle tenter de m'investir ? 

     

     Je l’ai entendu, lui,

     

    Me berçant de l 'illusion de croire 

     

    Ce qui est bon pour moi.

     
     

     

     

    Jesteś sam

     

    Widzȩ Ciȩ

     

    Siedzisz tak

     

    Nie daleko mnie

     

    Jakiś most wyszukaj mi

     

    Po którym ja

     

    Południem dnia

     

    Do Ciebie przyjdȩ.

     

     

     

    Nie jeden dzień (bis) 

     

    Nie jedną noc (bis)

     

    Myślałam dokąd

    Mnie prowadzi

     

    Serca głos

     

    Co chce mi dać,

     

    Co zabrać chce,

     

    Czy nie próbuje

    Oczarować mnie

     

    Słucham go

     

    Łudzac siȩ

     

    Że on wie co dla mnie

    Dobre jest.

     

     

     

     

     Każdy z nas na pewno

    Ma miejsce, w którym sam

    Przed sobą

    Chowa siȩ 

     

    Jeśli ty drogȩ znasz

     

    Po mnie przyjdł,

     

    Czekam tam.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nie jeden dzień 

     

    Nie jedną noc

     

    Myślałam dokąd

    Mnie prowadzi

     

    Serca głos

     

    Co chce mi dać,

     

    Co zabrać chce,

     

    Czy nie próbuje

    Oczarować mnie

     

    Słucham go

     

    Łudzac siȩ

     

    Że on wie co dla mnie

    Dobre jest.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Nie jeden dzień 

     

    Nie jedną noc 

     

    Myślałam dokąd

    Mnie prowadzi

     

    Serca głos

     

    Co chce mi dać,

     

    Co zabrać chce,

     

    Czy nie próbuje

    Oczarować mnie

     

    Słucham go

     

    Łudzac siȩ

     

    Że on wie co dla mnie

    Dobre jest.

     

     

     

     

     

     

     
     

     

     

    Tu es seul

     

    Je te vois,

     

    Tu es assis

     

    Non loin de moi,

     

    Tel un pont, cherche-moi

     

    Afin que par lui,

     

    Un après-midi,

     

    J’arrive jusqu’à toi.

     

     

     

    Pas un seul jour (bis)

     

     Pas une seule nuit (bis)

     

    J’ai pensé où me conduirait

     

     

    La voix du cœur,

     

     Ce qu’elle veut me donner,

     

    Ce qu’elle veut m’enlever,

     

    Veut-elle tenter de m'investir ?

     

     Je l’ai entendu, lui,

     

    Me berçant de l' illusion de croire,

     

     Ce qui est bon pour moi. 

     

     

     

     

     

    Chacun de nous vraiment

    A une place où seul

    Il se dissimule, 

     Si tu en connais le chemin

     

    Viens vers moi,

     

    J’attends là.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Pas un seul jour

     

     Pas une seule nuit

     

    J’ai pensé où me conduirait

     

     

    La voix du cœur,

     

     Ce qu’elle veut me donner,

     

    Ce qu’elle veut m’enlever,

     

    Veut-elle tenter de m'investir ?

     

     Je l’ai entendu, lui,

     

    Me berçant de l' illusion de croire,

     

     Ce qui est bon pour moi. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pas un seul jour

     

     Pas une seule nuit

     

    J’ai pensé où me conduirait

     

     La voix du cœur,

     

     

    Ce qu’elle veut me donner,

     

    Ce qu’elle veut m’enlever,

     

    Veut-elle tenter de m'investir ?

     

     

    Je l’ai entendu, lui,

     

    Me berçant de l' illusion de croire,

     

     Ce qui est bon pour moi. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Voyages vers l'Albanie, 2005-2010...

    Chapitre 1, l'Albanie regarde vers l'Italie, projet de visite à Tirana...

     

    Eh bien non ! Théo n’est pas à Tirana. Il est parti régler des questions épineuses à l’Ouest de l’Albanie, à Durrës, une localité charmante délicieusement plantée le long de la mer, à 39 km seulement à gauche de la capitale, sur la carte. Carole Rubinstein, âgée de 23 ans, l’amie de Natalie Cartal y habite dans un appartement de luxe, situé en bord de digue, faisant face à l’Italie.

     

    Du côté italien justement, les jolis flots de la mer Adriatique baignant la côte, au Corso Vittorio non loin de la Basilique San Nicola forment une frontière floue avec la propriété en contre-pied du jardin de la villa. L’espace dormant sous sa nature épaisse est occupé par le ‘Prince de Bari’. Les gens du patelin nomment ainsi le frère de Carole, ‘le fils du Boss’. Chaque matin, la grande sœur, à partir de son petit banc albanais cabossé et veiné en granit de Durrës, salue, d’un vague sourire ambigu, la riche Italie. ‘Ciao bambino’…

     

    Pas de Théo, rien de grave ! Natalie Cartal, l’amie de longue date d’Alex l’attend comme convenu, dès la douane franchie, à deux pas du centre des bagages.

     

    Natalie et Alex s’embrassent en un parfait câlin. Ils ne se sont plus vus depuis longtemps. La dernière fois, ce fut en France, près de Paris.

     

    Il est quinze heures. Tout à coup, une certitude les enveloppe, celle de l’absence du père de Carole.

     

    - Théo n’est pas là. Il reviendra dans quelques semaines. Il est chez sa fille à Durrës. Viens donc passer la nuit chez moi. Demain, je te ferai voir la capitale albanaise. Comme tu le sais, j’expose des toiles et quelques photos, au centre de la ville. Nous visiterons les lieux pendant une heure, puis nous dînerons, vite fait bien fait.

     

    Marché conclu. Alex y sera novice en ces lieux de minarets, de marchés un peu orientaux, un peu arabisants, ruelles aux souks agglomérés, magasins puants et veules. C’est l’occasion unique de découvrir un peu, d’exposer à son amie son travail d’ébauche des huit chroniques à envoyer au journal. Elle l’aidera, pas de problème.

     


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